mercredi 31 mars 2010
Vers la frontière Italienne
Cette fois ci c'est la bonne, à Chambery c'est le dernier au revoir à Collègue, quand à Gadjoh, Lolo et Jacques, ils m'accompagnent pour quelques kilomètre après je serai seul, fini les connaissances sur la route, je file vers l'inconnu ainsi que de nouvelles frontières.
Le premier jours se déroule comme à son habitude sous le soleil dont mes bras en subissent les effets.
dimanche 28 mars 2010
un week end sur Chambery
Le lendemain matin de mon arrivée sur Chambery la météo n'était pas à la fête, orage et pluie au réveil, je me dis que j'ai bien de la chance d'être au sec et qu'à un jour près mon bivouac aurait beaucoup moins plaisant.
Dans l'après midi, je visite le centre ville avec Lolo et Gadjoh sous un soleil qui avait pris la décision de
Dans l'après midi, je visite le centre ville avec Lolo et Gadjoh sous un soleil qui avait pris la décision de
vendredi 26 mars 2010
sous le soleil tout simplement
Les 4 jours qui ont suivi mon départ de Clermont ont été très ensoleillés. La traversé de la vallée du Rhone n'a pas été très plaisante, avec la ville de Givors qui ne possède aucun charme si ce n'est les odeurs de l'industrie pétrolière et de ses départemantales avec un D comme déchets.
mardi 23 mars 2010
22 et 23 mars
Au départ de Clermont je ne suis pas seul, mon p'tit Collègue a décidé de m'accompagner pour la journée. Sous un soleil rayonnant les premières grosses pentes pointent leurs nez au grand malheur de Collègue. La route se fait à un rhytme tranquille et une pause pic-nic à Vollore sur une table en pierre recharge les batteries.
A l'approche de Noiretable les paysages sont magnifiques, la journée se termine vers 18 h chez Florian rencontrer sur couch surfing. La soiréee se déroula dans une bonne ambiance mais la fatigue se fait ressentir
Mardi 23 mars la météo est toujours aussi clémente
Une photo de la Loire qui à ce passage peut se traverser à pied
Descente sur Givors, une bonne journée de 100km d vélo avec la rencontre d'un cyclo qui m'a accompagné pendant ma dernière ascension, le fait de lui parler de mon projet me fait oublier la pente.
dimanche 21 mars 2010
Que faire de trois jours sans vélo
Mon arrivée sur Chamalières n'a pu être concrétisée à vélo, le jour commençant à baisser et la vingtaine de kilomètres restant à accomplir après les 65 déjà parcourus depuis le matin. Heureusement Collègue est là pour venir me chercher, il m'annonce que les dix derniers kilomètres ne font que descendre et me propose de finir le reste du parcours sans ma remorque, mais je n'ai plus le courage de donner les coups de pédale et le fond de l'air devient frais.
Pour les jours à venir Collègue m'a concocté un programme plus ou moins reposant : premier jour nous sommes allés à Super Besse et enfin du coté du mont dore; deuxième jour accompagné de Caro une petite rando autour du puy de dome; le troisième jour a été plus zen avec des activités tel que le hammam, sauna, frigidarium, jacuzzi et autres piscines thermales,pour faire simple que du bonheur.
Pour les jours à venir Collègue m'a concocté un programme plus ou moins reposant : premier jour nous sommes allés à Super Besse et enfin du coté du mont dore; deuxième jour accompagné de Caro une petite rando autour du puy de dome; le troisième jour a été plus zen avec des activités tel que le hammam, sauna, frigidarium, jacuzzi et autres piscines thermales,pour faire simple que du bonheur.
vendredi 19 mars 2010
Mardi 16 mars :
Ma journée commence à Bénavant en direction de Dun le Palestel. Mes premiers coups de pédale de la journée débutent tranquillement le long de la Creuse. Je file jusqu'au Blanc où j'inaugure ma première chute dans une petite côte avec un feu à son sommet, les chaussures munies de cales ayant décidé de ne pas vouloir se décrocher . Après la ville du Blanc finie la rigolade, les pentes sont loin d'être aussi abruptes que dans les jours qui vont suivre mais le temps des routes plates est résolument terminé. Arrivé sur Saint Benoit me vient le constat que Jean-Marc (mon oncle) emprunte cette route tous les jours où il travaille et que moi j'y ai passé une bonne moitié de la journée pour y accéder.
Sous ce beau soleil de Mars, je frôle l'insolation, le mal aux genoux commence à se faire ressentir, je décide de me prendre une chambre d'hôtel pour le soir et de repousser ma premiere nuit dehors au lendemain. Le lendemain matin je fonce à la pharmacie acheter de la crème solaire et enfile mon chapeau, Cette journée est placée sous le signe des chemins de campagne qui ne sont indiqués que sur des cartes ign, que bien sûr je ne possède pas. Commencent les multiples demandes pour mon itinéraire ainsi que les encouragements de gens intrigués par ma cargaison et ma destination
-une femme "bon courage"
-un homme coupant du bois "vous allez où comme ça?"
- moi " je fais le tour d'Europe"
-la femme "alors double bon courage"
Le soir vient le temps de monter le bivouac, une petite toilette et un repas chaud composé d'un cassoulet aux lentilles. La nuit venue je m'endors un peu après la tombée du jour et finis par dormir tout habillé car la nuit reste fraiche et le vent s'est levé.
Mercredi 17 mars :
Au matin, le ramassage du matériel est encore fastidieux. Je ne décolle pas avant 10 heures et me dis que la journée va être courte pour arriver chez Collègue .
En ce debut de matinée les intrigues sur mon itinéraire se font croissantes, car la plupart du temps les panneaux se trouvant aux carrefours n'indiquent que des lieux dits qui ne sont pas sur ma carte. Du coup cela m'oblige à faire des petits détours de l'ordre de plusieurs kilomètres .
Petite phrase qui m'a fait sourire de la part d'une dame dans la Creuse "vous faites le tour de la creuse?"
Ma journée commence à Bénavant en direction de Dun le Palestel. Mes premiers coups de pédale de la journée débutent tranquillement le long de la Creuse. Je file jusqu'au Blanc où j'inaugure ma première chute dans une petite côte avec un feu à son sommet, les chaussures munies de cales ayant décidé de ne pas vouloir se décrocher . Après la ville du Blanc finie la rigolade, les pentes sont loin d'être aussi abruptes que dans les jours qui vont suivre mais le temps des routes plates est résolument terminé. Arrivé sur Saint Benoit me vient le constat que Jean-Marc (mon oncle) emprunte cette route tous les jours où il travaille et que moi j'y ai passé une bonne moitié de la journée pour y accéder.
Sous ce beau soleil de Mars, je frôle l'insolation, le mal aux genoux commence à se faire ressentir, je décide de me prendre une chambre d'hôtel pour le soir et de repousser ma premiere nuit dehors au lendemain. Le lendemain matin je fonce à la pharmacie acheter de la crème solaire et enfile mon chapeau, Cette journée est placée sous le signe des chemins de campagne qui ne sont indiqués que sur des cartes ign, que bien sûr je ne possède pas. Commencent les multiples demandes pour mon itinéraire ainsi que les encouragements de gens intrigués par ma cargaison et ma destination
-une femme "bon courage"
-un homme coupant du bois "vous allez où comme ça?"
- moi " je fais le tour d'Europe"
-la femme "alors double bon courage"
Le soir vient le temps de monter le bivouac, une petite toilette et un repas chaud composé d'un cassoulet aux lentilles. La nuit venue je m'endors un peu après la tombée du jour et finis par dormir tout habillé car la nuit reste fraiche et le vent s'est levé.
Mercredi 17 mars :
Au matin, le ramassage du matériel est encore fastidieux. Je ne décolle pas avant 10 heures et me dis que la journée va être courte pour arriver chez Collègue .
En ce debut de matinée les intrigues sur mon itinéraire se font croissantes, car la plupart du temps les panneaux se trouvant aux carrefours n'indiquent que des lieux dits qui ne sont pas sur ma carte. Du coup cela m'oblige à faire des petits détours de l'ordre de plusieurs kilomètres .
Petite phrase qui m'a fait sourire de la part d'une dame dans la Creuse "vous faites le tour de la creuse?"
jeudi 18 mars 2010
Premier Bivouac
photo du premier bivouac dans un champs en pleine campagne,
une nuit plutot fraiche avec une petite brise
une nuit plutot fraiche avec une petite brise
pic-nic au bord de l'eau
pic-nic au bord de l'eau avec un petit pont
lundi 15 mars 2010
quand on a pas d'hebergement on a des mollets
résumé de la journée d'hier :
Le départ eu lieu sous une météo plutôt clémente avec un soleil un peu couvert, après une cinquantaine de kilomètres parcourus la question de l'hébergement commence à me traverser l'esprit. Je décide donc de m'éloigner un peu de ma trajectoire pour rejoindre la ville de Sainte Maure de Touraine où je crois un peu naïvement trouver un hôtel vu que sa proximité avec l'autoroute est un facteur propice à la présence d'hôtels.
En arrivant sur Sainte Maure je passe devant un premier hotel fermé puis un second, puis un troisième, c'est alors que je décide de m'adresser aux gens qui se trouve devant un bar qui lui est ouvert. On m'indique un quatrième hotel en haut d'une cote plutot impressionnante, c'est un quatre étoiles, grimacent, les clients du bar comprennent que ce n'est pas trop dans mon budget . Un client sort du bar avec une carte avec l'adresse d'une chambre d'hôte qui affiche complet, ma dernière alternative est un b and b à cinq kilomètres mais qui comporte une route beaucoup moin plate qu'auparavant. Arrivé au sommet de la troisième pente moyennement raide mais qui à cette heure de la journée commence à se faire resentir, il est indiqué un gite à 600 mètres, dans un élant de désespoirs de trouver le b and b je me rend au gite où il n'y a pas ames qui vive, je croise en chemin une Dame qui m'indique que les ses voisins sont les propriétaires du gite, je sonne à l'interphone impossible pour ce soir la proprio attend des clients, ces alors que ma derniere chance se tourne vers le b & b qui se trouve au carrefour suivant, par bonheur la porte s'ouvre et une réponse positive me soulage de ces 80 km passés sur la route cette première journée.
Aujourd'hui:
Que du bonheur soleil pendant toute la route et seulement 70 km à parcourir sur l'ensemble de la journée
Le départ eu lieu sous une météo plutôt clémente avec un soleil un peu couvert, après une cinquantaine de kilomètres parcourus la question de l'hébergement commence à me traverser l'esprit. Je décide donc de m'éloigner un peu de ma trajectoire pour rejoindre la ville de Sainte Maure de Touraine où je crois un peu naïvement trouver un hôtel vu que sa proximité avec l'autoroute est un facteur propice à la présence d'hôtels.
En arrivant sur Sainte Maure je passe devant un premier hotel fermé puis un second, puis un troisième, c'est alors que je décide de m'adresser aux gens qui se trouve devant un bar qui lui est ouvert. On m'indique un quatrième hotel en haut d'une cote plutot impressionnante, c'est un quatre étoiles, grimacent, les clients du bar comprennent que ce n'est pas trop dans mon budget . Un client sort du bar avec une carte avec l'adresse d'une chambre d'hôte qui affiche complet, ma dernière alternative est un b and b à cinq kilomètres mais qui comporte une route beaucoup moin plate qu'auparavant. Arrivé au sommet de la troisième pente moyennement raide mais qui à cette heure de la journée commence à se faire resentir, il est indiqué un gite à 600 mètres, dans un élant de désespoirs de trouver le b and b je me rend au gite où il n'y a pas ames qui vive, je croise en chemin une Dame qui m'indique que les ses voisins sont les propriétaires du gite, je sonne à l'interphone impossible pour ce soir la proprio attend des clients, ces alors que ma derniere chance se tourne vers le b & b qui se trouve au carrefour suivant, par bonheur la porte s'ouvre et une réponse positive me soulage de ces 80 km passés sur la route cette première journée.
Aujourd'hui:
Que du bonheur soleil pendant toute la route et seulement 70 km à parcourir sur l'ensemble de la journée
dimanche 14 mars 2010
samedi 13 mars 2010
les dédidace avant le départ
voici les dédicaces qui ont été écrites sur mon sac et mon vélo:
sac:
sac:
Libellés :
Dédicaces du Départ
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