jeudi 11 novembre 2010

De retour dans une grande capital que je connais!!

Ce matin c'était petit déjeuner, pressing et repérage dans les rues pour retrouvé la maison d'Anne Franck, une fois devant ce musée la file d'attente me parait un peu longue, j'en profite pour me balader en vélo (un régale) la conduite d'un vélo dans les rues d'Amesterdam n'a rien à voir avec celle de Prague qui consiste à s'équiper d'un vélo qui turbine, tellement il est léger et le plus souvent équipés d'un rétro, ici c'est position haute et guidon large à l'allure plus cool. Bref à l'heure où tout le monde mangent je visite donc la maison et achète le livre qui contient le journal d'Anne, cela me rappelle mes précédents voyages avec les escaliers raides du Bob youth hotel.

lundi 20 septembre 2010

c'est la fin

Je suis à la maison et je trouve que le temps a passé à une vitesse folle, un mélange entre la joie d'être rentré et un sentiment de nostalgie de tous ces bons moments passés sur la route avec mon vélo.

vendredi 10 septembre 2010

le retour en France

Ça y est la frontière est passée, ma collection d'autocollants placardés sur mon vélo est au complet excepté la Bosnie. La traversé de la Belgique et des Pays-Bas fut agréable et ensoleillé avec ces canaux, écluses et même ascenseur pour péniche; à la frontière entre la Belgique et le département du Nord une trombe d'eau c'est mise à tomber comme dans un film que tout le monde a vus, à St Quentin je rencontre Steven et Raquel sur le chemin de Compostel mais à vélo, Steven est reparti aujourd'hui pour Anvers et Raquel ma guider grâce à sa carte et ses talents de pilote jusqu'à Compiegne. maintenant je me dirige vers la Capitale ce qui ne va pas être une partie de plaisir!!!

mercredi 1 septembre 2010

Opera d'Oslo

le tiki photo du Ra 2

Au final je reste deux jours à Oslo pour visiter les trois musées consacrés aux bateaux: le fram, le tiki, le Ra 2 et le musée de la marine. Après une discussion devant l'opéra (fièrté nationnale) avec Kirstie qui voyage elle aussi seul et à vélo prenant la direction de la Suède et des autres pays de la baltique, alors que moi je prend le bateau pour Copenhague, une croisière avec sont flot de touristes Russes et Japonnais en majorité, ce soir là, ambiance style la croisière s'amuse.


vendredi 20 août 2010

sans fyoritudes

Enfin arrivé sur Oslo, il m'a fallut trois jours pour retrouver le morale après le départ des Skarottes; dès qu'ils ont franchis la porte qui les menaient au bus, j'ai ressenti une grande solitude, probablement que j'avais perdu l'habitude d'être seul, me suis dis-je, le trajet dans le métro me ramenant au camping fut trop silencieux à mon goût.

dimanche 15 août 2010

Purée!! les skarottes se sont taillées

Me voilà de nouveau seul, cela ne laisse pas indifférent car après 15 jours passé avec Rous Mélane et Kolaig les ronchonnements matinaux vont me manquer et je pense que tous seul le rythme des journées à venir vont être plus chargé en kilomètres. Je vais pouvoir profiter du grand espace qu'offre ma tente mais Kolaig ne pourra plus réchauffer sont intérieur pour les nuits fraîches qui m'attendent.
Cette semaine passé sur Gotland a été très reposante pour moi ce qui ma permit de remporter la victoire de ce sport très physique "le mini golf".
A ce stade du voyage l'envie de revenir sur des terres connues devient plus pressente mais j'espère bien accomplir un dernier défi qui est celui de rejoindre la Norvège à vélo et essayer d'aller voir quelques fyords malgré des routes de montagnes dont la difficulté mais encore inconnue .

vendredi 13 août 2010

On Suède à grosses gouttes!

Nous y sommes, enfin, nous allons retrouver Sam.


Nous nous donnons rendez vous vers 11h à la gare de Stockholm, 11h02, Sam appelle, trop impatient de nous retrouver. De quiproquos en quiproquos nous finissons par le rencontrer, sec comme une huitre et bronzé comme une frite.

Cela fait déjà 3 jours que notre Européen est sur Stockholm.

Après de brèves embrassades, il décide de nous faire visiter la capitale suédoise. Nous effectuons un détour par le camping pour déposer nos 30 kilos de bagages.
Nous arpentons les rues et ruelles à la découverte de l’architecture suédoise (maisons colorés, château du roi et de la reine) le tout cerné par la mer.
Après une première nuit au camping, alcoolisée, une bière à 3,5° chacun, nous nous couchons au grand désarroi de Kollaig.
Lundi matin, décollage de bonne heure, midi, direction le Vasamuseet sous une pluie Bretonne, à l’arrivée, une file d’attente encore plus longue que ma bite nous dissuade.

tribune aux skarottes

Pour le prochain article je laisse la parole à mes compagnons de routes qui mon accompagnés sur les routes l'île de Gotland au Sud Est de Stockholm, pour le moment ils émergent devant leur café et je ne sais pas si ils vont prendre le temps d'écrire depuis la Suède ou bien d'attendre le retour en France. Pour la suite de mon voyage les routes de la Norvège me font de l'oeil en espérant découvrir quelques fjiords.

vendredi 30 juillet 2010

je décroche le traineau pour quelques jours





Enfin à Stockholm et en plus avant ceux qui prennent l'avion, ma première nuit sur la ville était en camping sauvage près d'une banlieue avec un fabuleux couché de soleil d'une couleur rouge flamboyant, le jour d'après fut moins glorieux car des trombes d'eau ce sont abattuent sur la ville ce qui a eu pour conséquence la visite des grandes galeries marchandes dans la partie souterraine de la ville. Aujourd'hui il y a des éclaircies mais la météo reste encore incertaine, le programme de la journée est de trouver un réparateur pour ma remorque dont une soudure a lâchée.
La Suède est un pays très boisé avec de nombreux lacs où l'eau y est chaude et la baignade agréable mais sur la côte la température de l'eau varie entre 14° et 23° selon le sens du vent, malheureusement pour moi le vent était d'Est lorsque j'accomplis un saut de 10 m à partir du plongeoir du camping ce qui me valu d'être plus impressionné par la distance à effectuer du point de chute à l'échelle dans une eau à 14°.

En Suède le calme est de rigueur et les gens en règle générale sont silencieux et respectueux de leur environnement, vous pouvez aller dans une chaîne de fast food et malgré la présence de nombreux enfants il y règne une ambiance plutôt reposante.
http://www.ibbou-home.com/samsufi#?t=website&o=0&v=gallery&i=0&p=1&m=1015&hid=1280578364

mardi 20 juillet 2010

the very best of

Pendant ces quelques mois de voyage j'ai pu accumulé des petites anecdotes que je vais vous faire partager comme une sorte de classement
-le plus grand nombre de km en une journée: 175 sur la route pour Berlin
-le plus petit nombre de km dans une journée : 22 après le trecking en Apusen
-les meilleurs moments de vélo: avec Dany et ses potes de Sibiu

-la plus mauvaise surprise: chemin impraticable et enneigé au Monténégro
-la plus grosse déception: le col de l'épine pour Chambery
-la rencontre la plus inattendue: les de la chance en Hongrie
-le trecking le plus déglingo: avec Cornelio pour aller à Bâlea lac juste devant le hors piste de Yoski













-le moment le plus chaud: en Hongrie mon compteur a prit un coup de soleil pendant que je nageai dans de l'eau à 42 ° alors qu'il faisait 38°
























-le plus énervant: les moustiques qui mon gâchés plus d'un couché de soleil
- l'instant le plus hilarant: devant le clip d'Annie Cordy chez Yoski
-les plus belle filles: partout
-la plus belle surprise: demain


je continuerai cette liste interminable plus tard.

lundi 19 juillet 2010

sur les traces du Père Noël

Je suis arrivé sur la terre du Père Noël, pas encore en Laponie mais dans le sud de la Suède, je m'excuse de ne pas avoir donné de nouvel avant mais à Berlin j'étais pris entre la fatigue et les matchs de foot, car pour les quart de final je me trouvai au sud de Berlin et je fus surpris de l'acceuil que les Berlinois mon accordés à coup de klaxons et affichant fièrement leur drapeau national. Après une lente visite dans la grande forêt (pour ne pas dire perte) je trouve le camping le plus proche du centre et aussi de l'aéroport dans les alentours de 23 heure avec mon record de 175 km dans une seul journée, ce qui vaut bien une journée entière de farniente pour enchaîner avec la visite de Berlin, de son dôme ainsi que du Reichtag.
Grand malheur dans les jours qui suivent puisque l'allemagne perd sa demi-finale, vue du camping se trouvant dans le magnifique parc naturel de (faut que je relise mes notes) la nouvelle n'est pas aussi dramatique que ça et les Allemands continuent à supporter leur équipe.
Foot ball, foot ball fooot ball (mano negra) lorsque j'arrive au camping un peu étrange de Copenhague c'est la petite finale donc pas de soirée en centre ville, le lendemain je visite une partie de la ville avec Arthur et Alex et rentre juste avant une averse et la final de... foot!
au lendemain de cette victoire Espagnol j'enfourche mon vélo pour le centre ville et de Cristinia quartier hippie de la ville tagger de partout avec son skate park et ses bars (interdit de prendre des photos) j'en ai deux ou trois.
Je triche de nouveau en prenant le ferry  qui coûte moins chère au nord du Danemark (sous les conseil d'un cyclistes Allemand) la traversée n'est pas très longue et le sud du pays ressemble fortement a celui que je vient de quitter. Plus loin la forêt et ses lacs montrent toutes leurs splendeurs sous les longs couchés de soleil.

mardi 29 juin 2010

Prague



















Voilà deux jours que je suis à Prague, je suis sous le charme de cette ville qui ressemble à Budapest mais sans les moustiques. Je me la joue plutôt relax mais j'ai parcourus une bonne partie de la ville, pas de musée, ce sera locasion de revenir, il fait tellement chaud dans le début d'après midi que je ne trouve rien d'autre à faire que de me prélasser dans les petits parcs.
Il m'ai impossible de rester au camping car mon allergie aux graminés y est très forte sans compté que tous les jours un homme passe la débrousailleuse ce qui emplifie le phénomène
Je fête mes 7000 km parcourut dans un bar où l'ambiance est plutôt bonne

dimanche 27 juin 2010

ya ka demander

Les petites galères  montrent leurs bouts du nez quand le jour de mon départ de Bratislava j'oublie mes bouteilles dans le coffre de la voiture de Yoski, la metéo n'est pas très bonne et à mon arriver sur Vienne pas moyen de trouver le camping, alors que je me trouve dans la rue ou il est sensé être, le numéro ne correspond pas du tout, retour en arrière pour y trouver un autre camping qui est fermé, le sauvage s'impose. Je ne sais pas si c'est la fatigue mais je me lasse vite de cette ville certe aux monuments imposant mais je trouve le centre trop bruyant et trop "place Vandome"
A la sortie de la ville j'admire les grandes éoliennes mais  malheureusement le vent me souffle en pleine figure de façon régulière jusqu'à Brno en republiqueTcheque ou le relief est parsemé de patates avec des pentes de 12 % pour finalement arrive sur la magnifique ville de Prague

lundi 21 juin 2010

Je ne sais pas par quoi commencer mais je suis au comblé de bonheur pendant ce voyage

On peu dire que mon voyage est pratiquement parfais, j'attends les moments de galères avec impatience.
Je n'est pas évoqué toutes les rencontres auxquelles j'ai été heureux de faire sur la route pour Bratislava, je n'avais pas mentionné la famille de Français qui voyage en camping car avec laquelle j'ai discuté le lendemain de mon trecking de fou. Les jambes un peu en compote j'arrive devant une grotte touristique où est garé un camping car, je demande à ses occupent si la grotte vos le coup et si on peu y accéder il me réponde  que oui et la conversation ce déroule devant une tasse de thé ou nous échangeons des impressions sur le voyage, ils m'offre généreusement deux livres.
A Budapest dans le mini camping mais maxi moustiques, il n'y a qu'une tente et un van immatriculé en France, la tente est à un couple de retraiter Australien qui voyage à....deviner des vélos forcement, la j'ai peu constater mes grosses lacunes en anglais mais Blue sait mettre a l'aise et plaisante rapidement sur le fait qu'il est l'esclave de sa femme, dans le van ce trouve aussi un couple de retraités mais cette fois si il ne sont pas Australien,pas Français mais Canadien.
Le jour de mon départ de Budapest je vois un bob yak qui porte un petit drapeau bleu, blanc, rouge à l'arrière du bob, c'est celui de Jé et Stefy "les de la chance en vacances" des Français qui habite dans le Saumurois à Treves Cunault, on se donne rendez-vous lors de mon retour pour se faire une bouffe.
Un autre couple de Français à vélo électrique suivit d'une nouvelle averse de grêle.
A Bratislava en attendant Juro et  Sasa il y a un groupe de touristes Angevins de passage dans la ville pour la journée.
adresse du couple d'Angevins:http://lesdelachances.over-blog.com

dimanche 20 juin 2010

trop tard pour écrire

il est samedi soir et la soirée se termine ( 01:25 ) a demain!

mercredi 16 juin 2010

Ca fait longtemps!

Les Maramures sont déjà loin au moment où j'écris ces mots, il a fallut que je passe une succession de cols  sous la pluie ne profitant qu'à moitié du paysage et ne pouvant pas prendre de photos car mon chargeur solaire est peu performant dans ces conditions, j'ai essayé la solution de secours qui est d'acheter des piles mais dans cette partie de la Roumanie je n'ai trouvé que des piles á 25 centimes l'unité qui a une durée de vie d'environ 8 photos.


Quand je suis á la sortie des montagnes la plaine est plutôt marécageuse et inhospitalière á toutes formes de camping heureusement je trouve un motel de routier, le moral est au plus bas depuis le début du voyage, la route est en travaux la pluie est toujours présente et mes allergies m'épuise.

lundi 31 mai 2010

ils sont fous ces Roumains

Dimanche 23 mai
Je pars en direction du centre de Sibiu pour acheter des livres en français, sous l'effet du beau temps je passe devant la librairie sans m'arrêter pour me rendre sur la grande place de la ville pour prendre mon vélo en photo au milieu des jets d'eau, trois vttistes se dirige vers moi et la fille parle français, nous parlons de mon voyage,échange d'adresse comme d'hab, sur le point de partir je croise un couple en tandem dont le pilote observe ma remorque, je me souviens tout à coup qu'il faut que j'aille à la librairie et rebrousse mon chemin.
Quand je m'arrête devant le magasin le couple s'adresse à moi en anglais cette fois si, ils m'invite à manger et à faire un tour de vélo avec eux dans l'après midi, après quelques hésitations j'accepte car je ne suis pas à une journée prête.

samedi 22 mai 2010

A quoi pense-t-on après deux mois de voyage?

Et oui plus de 69 jours après mon départ mon attitude sur le vélo n'est plus la même, les pentes difficiles ne me font plus peur mais je lâche toujours un léger soupir lorsque j'en vois une qui débute, je prend mon temps, rien que sur la partie de Brasov-Sibiu j'ai roulé 3 jours alors que 2 aurais suffit. Au quotidien j'essaye de me blasé de tous les déchets sur le bord de routes et coupe ma respiration à la vue d'un cadavre d'animal, ça c'est pour les points négatifs car même la pluie n'est pas un point noir sur le vélo, c'est d'avoir à planter la tente sous la pluie et de la replier alors quelle est encore humide.

jeudi 13 mai 2010

comme d'habitude beaucoup d'évènements me viennent à l'esprit et il serai impossible de tous les évoqués, il y a eu la rencontre avec Zakina qui ma traité de crazy boy, fait visité la vile et manger pour pas chère deux énormes sandwichs, car elle m'a dit de prendre des forces pour passer la frontière de la Bulgarie.

Une fois passer dans ce nouveau pays il ya quelques petites différences comme à chaque frontière, les routes sont en bon états et les panneaux plus nombreux alors que les charrettes tirés par des ânes sont en augmentation, l'attente du bac pour passer le  Danube est longue et en arrivant à Calafat je n'est pas de carte de la Roumanie, c'est en croisant un autre cyclotouriste qu'il m'en procure une car lui se dirige vers la Bulgarie, bien comptant d'avoir le précieux sésame je me lance dans la campagne, le soleil décline et je ne trouve pas de restaurant. Il fait nuit et j'entre dans le dernier village que mes forces puissent m'y emmener, à l'entrée des gens me saluent et je me dirige vers eux à peine ai-je eu le temps d'expliquer mon voyage qu'un morceau de pain et de fromage m'attendait sur le banc, Gjovani s'impose comme l'interlocuteur numéro un, il a travaillé en Espagne ce qui donne un dialogue franco-espagno-roumain assez marrant, la soirée se passe et au moment où je veux aller planter ma tente un peu plus loin il me fait signe que je peu dormir devant chez eux mais je me trompe il  s agissait juste de poser mon vélo et m'invite a dormir chez eux. Les enfants me font visité l'étable où ce trouve le cheval une vache et son veau,puis ils se dirigent vers la voiture et s'en vont dormir ailleurs pour me laisser la place,cela m'embarrasse fortement, me voilà donc seul avec les parents un petit garçon qui est du voisinage, la télé est allumé mais les bâillements du père s'intensifie, je suis moi même très fatigué quand le père se lève c'est pour aller se coucher dehors dans la charrette et la mère se coucher dans la cuisine, me voilà donc seul dans la chambre avec deux lits.

 Le lendemain je repare avec un gros morceau de pain et de fromage dont était déja au menu du petit déjeuner mais accompagné de deux tasse de lait chaud sucré et très bon mais avec une odeur de crotin de cheval

vendredi 7 mai 2010

a la niche

aujourd hui il a fait un temps de chien, je suis passe entre plusieurs averses orageuses en m arretant quand la pluie pointaait le bout de son nez. En passant devant une maison un homme sifle et a l aide de son bras me fait signe d approcher me fait rentrer et me dit de m assoir me sert un vert m apport une assiette et me dit de manger, je n est pas pu savoir pourquoi il invitait des amis a manger a 10h du matin mais je goute a tout ce qu il y a sur la table, la veille c est des laveurs de voitures qui mon payer un cafe tapant la cosette faute de clients a cause de la pluie. Les chats errants ont ete remplacer par des chien ce qui viendra completer la collection d animaux morts de Jaques, en revanche l odeur de cadavre le long de la route est toujours presante depuis la Croatie. Je vous ecrit ces quelques mots depuis le hall tres bruzant de l hotel sur les pc a dispo ce qui explique l apsence d appostrofe et le z et le y sont inverser ect...
Au sujet des filles qui sont regulierement ctees dans les commentaires il y a de charmante brune pas plus de moche que dans un autre pays, je ne connai pas de pazs qui refuse le droit de resider dans le pazs sous pretexe d un plastique disgracieuse, pour ce qui me connaisse bien il savent a quel point je suis un grand drageur ajouter a cela une tenue plutot froisser avec des odeurs de transpi et un velo qui est tres blin bling ne facilite pas les contacts.

mercredi 5 mai 2010

le Monténégro ça envoie du gros

Ma première nuit au Monténégro je suis dans un camping à Bijela où pour changer je suis le seul campeur, je rencontre brièvement la propriétaire du camping qui parle un anglais impeccable et me fait une remise de un euro parce que je suis le premier de la saison ce qui me revient à 4 euro la nuit, elle m'invite à aller voir une régate de bateau à 10 km , mais je suis fatigué est me contente d'une promenade de un peu plus de 5 km.

 
vue du camping


samedi 1mai
Cetinje

vue du camping
la journée la plus difficile depuis le début du voyage, non loin de la ville de Radovanci je cherche la route qui mène à Cetinje ,mais il y a un petit problème car je me trouve devant le tunnel qui va sur Kotor et ma carte indique deux routes, une qui passe au dessus du tunnel et arrive aussi à Kotor (qu'il faut surtout ne pas prendre) l'autre à Cetinje mais je suis incapable de distingue laquelle je dois prendre, dans ce climat d'incertitude je préfère joué la sécurité surtout que ça rigole pas comme route. Ma route est donc celle de Budva où je prend le temps d'un bain dans l'adriatique sur la plage de Becici. Après ce moment fort agréable vient le moment de gravir la montagne d'une hauteur de 870m pour 16 ou 17 km de route puis le chemin qui mène à Cetinje ne descend pas vraiment, à proximité de la ville je croise un groupe de touristes en vélo qui n'ont pas trouver de camping, moi je veux voir cette ville ancienne capitale du pays, je trouve un hôtel avec l'aide des gamins de la ville.

dimanche 2 mai
La machine à café ne veut pas fonctionner, je me vois donc privé de thé pour s'excuser le personnel me propose une omelette, c'est un peu inhabituel pour moi mais quand on a faim on ne fait pas le difficile, ce qui fait la particularité de cette omelette c'est le morceau de fromage à la couleur de beurre mais extrêmement salé et très sec.
Je passe peu de temps dans la capitale Prodgorica puisqu'elle est trop récente et je ne parvient pas à voir le vieux centre peu être n'existe t-il même pas,il y a plusieurs parcs dont certains sont bien entretenue d'autres pas. Une seul route permet d'aller vers le nord, elle longe la rivière Moraca ce qui forme d'après ce que j'avais entendu les gorges les plus profondes d'Europe.
Je dort dans le village du même nom que la rivière où j'y est trouvé des petits bungalows, les 3000 km viennent juste d'être franchis


lundi 3 mai 72 km
L'idée idiote de prendre une route qui mène tout droit vers Berane me traverse l'esprit, je monte donc jusqu'à une station de ski qui fini plus ou moins en cul de sac, je montre ma carte à un gardien qui ne sert à rien et il m'indique le chemin qui passe dans la montagne, crétin que je suis je me dit que si il me l'a indiqué c'est que cet faisable, après quelque mètres sur le chemin forestier de plus en plus pourrit je doute sérieusement quand vient un carrefour sans pancarte puis de la neige, je décide donc de rebroussé chemin et merde pour le temps et les kilomètres perdus, j'arrive donc jusqu'au parc biogradska gora sans difficultés puisque la route descend.

mardi 4 mai 70 km
La route pour Berane est plutôt cool après et la je le devine sur ma carte m'attend une longue ascension, je monte jusqu'à ce que mes forces me lâches je vois un premier endroit où planter ma tente mais il me parait bien trop prêt de la route, dans un dernier effort je fais 200m de plus et prend un chemin qui s'écarte un peu de la route, j'aperçois une remonter mécanique qui donne sur une seul piste.

mercredi 5 mai
je me réveil de bonne heure ( 6h) c'est là que je rend compte que je n'avais qu'a faire 1.3km passer un tunnel et entamer ma descente. Je passe donc la frontière bien plus tôt que je ne le pensai, un premier poste de douane Serbe puis un second et un troisième je commence à douter de la sécurité du pays mais sur le dernier des soldats Français de la kfor sont au bord de la route et j'entame la conversation avec l'un d'entre eux. Il m'explique que le Kosovo est sur la voie de l'indépendance et que les Serbes et la partie Albanaise du pays ne sont pas encore d'accord sur les frontières.
Cette journée a été marquée par le grand nombre de rencontre: deux policiers Serbes curieux de voir mon attirail (sans compter les gardes frontières), deux motards Slovènes, quatre motards Italiens, un policier dont je ne connaît pas la nationalité mais me donne sont nom pour face book puis un jeune kosovar pratiquant le vtt.

jeudi 29 avril 2010

dubrovnick et cette fois je vous mène pas en bateau

En ce jeudi 29 avril tout l'après midi sera consacré à la visite de Dubrovnick, je ne suis pas dessus de m'y être arretté splendide ville sous un soleil digne d'un mois de juillet Français. j'explore toujours une ville nouvelle de façon azardeuse,me perdantt dans les petites ruelles où le flot de touristes est le moin importyant et je visite un des musée de la ville où je ne me fais pas bousculer par la foule qui est innexistante malgré une visite que je trouve à mon gout avec une exposition de photos sur la ville pendant la guerre et quelques portraits et paysages assez tipiques


Je suis aussi allé à la plage non loin du camping

mercredi 28 avril 2010

Balkan byciclette bonheur

Tant de choses à raconter depuis l'Italie, déjà mon départ de Pescara fut avorté puisque la liaison ne se fait que pendant la saison touristique, je suis donc obligé de remonter de 140 km vers le nord, suite à ma douche froide(au 1er degré et non au second malgré une eau à 14) que je prend dans mon fabuleux palace de Pescara, je décide d'enfourcher mon vélo et de faire le maximum de km, au 85ème je n'en peu plus et décide de prendre le train pour finir la distance qui me sépare d'Ancona, mais malheureusement à la gare le distributeur de tickets est défoncé et devant le guichet fermé se trouve un mots où on peut comprendre que le guichetier est au bar en face la gare mais lui aussi est fermé. A la suite des ces deux éléments perturbateurs je dois faire 10 km de plus, prendre le train , je sort de la gare et j'aperçois un panneau indiquant la vente de ticket pour le ferry, je pense donc à réserver mon ticket pour le lendemain,lorsque je suis au guichet peu être suite à un quiproquo on m'amorce que le bateau part ce soir et la guichetière ne ma même pas demandé si je voulait une cabine ce qui m'oblige à dormir sur le sol du bateau.
Mardi 20 avril


Split 7 heure du matin la tête un peu enfariné par mes deux fois deux heures de sommeil, première mission retirer de l'argent, heureusement il y a l'option en anglais, la deuxième consiste à acheter un e carte car je n'ai aucune idée de où aller. Je fais le choix de partir vers le parc de Krka ce qui n'est pas vraiment mon chemin de départ, là bas je fais la rencontre d'un Allemand (je n'écrit pas son prénom peur de mal l'écrire mais si tu lis cela envoie le moi ) qui parcourt la Croatie à la fois en vélo une partie de la journée et l'autre au volant de sa voiture, on discute échangeant quelques impression et parlons voyage, lui en fait en vélo, en majeur partie en Inde et en Asie du sud ouest.
Je remonte tout le parc jusqu'à Knin passant devant les chutes "roski slap"


dimanche 18 avril 2010

direction l'Adriatique

Le jour où il a fallut partir de Rome, je me suis réveillé un peu tôt vue à l'heure tardive de mon retour à l'hôtel  au petit matin après avoir passé la soirée avec un Allemand de passage à Rome et son ami Hollandais qui habite la ville.

Quelques kilomètres après être sortie de la ville je voie de grandes carrière où est extrait le marbre juste avant la ville qui mérite la première place dans le classement des villes les plus sale que je n'est jamais vue avec en prime une odeur nauséabonde (heureusement que je ne suis pas descendue jusqu'à Naples).

Pour rattraper ce mauvais souvenir je décide de passer par le col di Montebove où le décor est splendide même avec une météo peu favorable, il n'y a eu que  les chiens pour briser ce calme paysage.


A chaque jour son col puisque le lendemain je passe un col à 1200 mètres et en suite un autre à 1100 mètres.

aujourd'hui la journée a été pluvieuse et sans photos je suis arrivé à Pescara dans l'hôtel le plus pourrit que j'ai eu l'occasion de passer la nuit (prise déglinguées,très bruyant et avec une odeur de tabac froid très tenace)

jeudi 15 avril 2010

Pas de babas à Rome

A mon arriver sur Rome je débute par la traverser d'est  en ouest, me retrouvant près des remparts du Vatican, je me trouve un point internet et trouve un hôtel à l'autre bout de la ville je prend l'adresse et notes 3 ou 4 nom de rue, ça part mal car au premier croisement je me trompe de rue, je me fie à mon sens de l'orientation et improvise un trajet, à ma grande surprise, par chance et avec un sens de l'orientation qui j'ai l'impression s'affute avec le voyage (surtout depuis l'erreur du col de l'Épine qui met rester entre la gorge) je trouve l'hôtel avec facilité.


Au premier jour je marche, je marche et je marche effectuant le même parcourt qu'à vélo, ce qui s'averre plus long et plus fatiguant.

Le soir je rencontre Gonzalo qui me fait décourir le quartier juif ainsi que d'autres places de Rome. J'adore ces rencontres ou on partage des deux coté en plus Gonzalo est déja parti en vacances en vélo et connait un peut la France.

Aujourd'hui, j'ai marché et marché, visite du musé du Vatican, les jardins du centre et le tour du Colisée qui était fermé, j'avais un quart d'heure de retard, je remet ça à demain avant mon départ.

mardi 13 avril 2010

tous les chemins mènent à Rome

Le choix de quitter la cote pour aller explorer les terres ne fut pas une mauvaise idée, ayant eu une très mauvaise image de cette cote exploitée pour sont tourisme mais d'une très grande insouciance de tous les déchets qui peuvent si trouver pendant leurs absences.

jeudi 8 avril 2010

Plus d'une semaine sans nouvelles

Et oui ça y est je suis dans le rythme du voyage et le temps passe vite ; Il y a tellement de chose à dire depuis Turin. Il y a eu d'abord une procession le soir de mon arrivé à Savona ce qui fut la première fois a laquelle j'assistai à cette cérémonie que les Italiens des alentours prenaient très au sérieux, pour moi ce fut plus ennuyeux qu'autre chose.

 Le lendemain de cet événement dont je ne me suis pas infligé le spectacle jusqu'à la fin, le temps ce gatte mon arrivé sur Genova était plutôt arrosé, heureusement je fu très bien accueilli pour le weekend par Betta qui pratique la spéléo dans le piemont et me fais visiter la ville et manger quelques spécialités Italiennes.